Cette vision, en vitrine d'un salon de coiffure devant lequel je passe si souvent, m'a cette fois-ci happée. Me renvoyant à mes viviers d'amours et aux Kits de déploration un peu délaissés... De fil en aiguille (!), me rappelle ce poème de Paul Eluard, À peine défigurée intégré/caché autrefois dans un photomontage.
La vie recèle d'étranges contingences facétieuses.
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